Avec l’offre qu’on me fit de participer à L’Orléanais je n’ai jamais manqué d’écrire une chronique mensuelle depuis la première parution de L’Orléanais le19 janvier 2017.
Je vous ai parlé de mes états d’âme, des nouvelles de notre beau « village » et des environs. J’ai essayé d’écrire simplement et sincèrement et continuerai à vous divertir aussi longtemps que ma santé plutôt frêle va tenir. On me dit en rémission et… je continue.
Je me suis attardé à vous faire sourire avec chaque chronique autant que possible. La grande majorité du temps, ce ne sont que des vérités que je vous ai présentées. Autrement, j’ai tenté d’écrire pour que vous puissiez détecter ma fantaisie de l’irréel dès le début ou à la toute fin. J’ai évité de mentionner des noms afin de ne pas blesser qui que ce soit, car comme disait une certaine actrice « J’aime mon public ».
Au cours de ces sept ans et demi, je vous ai écrit sur une grande variété de choses, soit sur mon ancien patelin, Gagnon en Ontario (Limoges), sur les coutumes agricoles et de la ferme, sur l’entregent des temps passés et sur des fêtes annuelles, telles l’Halloween et Noël. Je m’en suis donné à cœur joie avec ces deux fêtes en poussant mon imagination à la limite, car ces deux fêtes en particulier apportent de l’anticipation et de la joie.
Ma préférence est d’écrire sur la nature et les animaux sauvages. On en apprend tous les jours sur les coutumes de survie des animaux volants, quadrupèdes et bipèdes ou rampants autant dans les bois, déserts ou dans nos villes. Toutes ces bêtes ont des capacités qui devraient nous inspirer à garder notre planète en bon état. Toutefois, on continue à tout brûler, à se faire la guerre pour des raisons égoïstes ou religieuses en oubliant que notre civilisation se détériore graduellement.
Mes autres sujets de prédilection sont les coutumes que nous avons, tels le port de certains vêtements, le magasinage (ici, j’en ai beurré assez épais), et le langage corporel.
Pour la plupart de ces sujets, j’ai dû faire des recherches et, avec un peu d’imagination, on a peut-être reconnu un « vieux mononc’ plate » ou une matante « pincée ».
Ma première chronique portait le titre « Aller au village ». J’ai reçu des commentaires bien favorables, car je considère Orléans toujours comme mon petit village d’adoption, y étant établi depuis 1971 avec notre famille… même si Orléans est maintenant une grande ville de banlieue. Mon épouse et moi sommes maintenant à l’extrémité est et on va encore « au village ». J’ai enchainé ensuite avec « Le bonheur » et « Le temps », deux sujets sur lesquels on pourrait s’étendre plus longuement.
Quelque temps passé, j’ai touché à l’intelligence artificielle, ce qui m’a fait peur. À mon avis, c’est une des plus grandes inventions et aussi la plus monstrueuse à long terme. On verra avec le temps.
Donc, avec ces 100 premières chroniques et la permission du proprio de L’Orléanais, je me propose de faire un livre que je sortirai à l’automne 2024. Entre temps, vous pouvez m’envoyer vos commentaires sur ma page Facebook ou par courriel.
Merci de votre assiduité. Je continue..